être optimiste, mais c'est pas dans mon tempérament, alors il faut que
je fasse des efforts, je m'aide avec des mots, des livres et des
articles dont celui-çi:
Si on pense triste, c'est parce qu'on parle triste, affirme Philippe Bloch,
auteur du livre :"ne me dites plus jamais bon courage" lexique anti-
déprime à usage immédiat des français.
Investisseur, conférencier, animateur radio... cet homme multicarte
fait la "peau" à douze expressions qui collent au palais sans s'en
qu'on s'en aperçoive, entachant sérieusement notre joie de vivre:*
"le problème c'est que"
"pourvu qu'il ne m'arrive rien"
"ça ne marchera jamais"
"c'était mieux avant"
"bon courage"
Et si on apprenait à se débarasser de ces tics de langage qui,
de façon sublimale, nous plombent le moral?
alors dire à l'inverse:
"la solution c'est"
"pourvu qu'il m'arrive quelque chose" (sous entendu de bien)
"ça va marcher"
"ce sera mieux demain"
"bonne journée"
Alors bienvenue dans le camp des enthousiasmes et des optimistes
qui voient toujours le verre à moitié plein!
Cet article est signé: Annie Gomez
Moi, je veux bien , je suis pleine de bonne volonté pour voir le
bon côté des choses, mais ce n'est vraiment pas ma façon d'être.
Il faut que dès demain, en chaussant sur mon nez mes lunettes,
je vois le monde en rose, mais..... il faudra avant que je ne me
réveille pas avec les infos tellement anxiogènes, que je n'ai qu'une
envie: surtout ne pas bouger, rester sous la couette et attendre que
le monde tourne plus rond.
Alors là mes Amies (is) je peux vous dire que comme ce n'est
pas demain la veille, vous risquez de ne plus me voir apparaître
sur les blogs. Remarquez bien que ce ne serait sans doute pas
plus mal, l'anxiété chronique est une maladie qui se transmet facilement.
Et pourtant , forte de mes bonnes résolutions je vous dis
BONNE JOURNEE!
MTH